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Les Métis dans l'Ouest du Canada: O-Tee-Paym-Soo-Wuk

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Les débutsLe peuple et leurs communautésCulture et mode de vie
Influences européennes sur la nourriture Métis

Les Européens apportèrent des outils et des ustensiles faits de divers métaux qui étaient très populaires lorsqu’ils faisaient le commerce avec les autochtones et les femmes métisses. Des aiguilles à coudre, des bouilloires, des pots, et des casseroles firent leurs entrées dans beaucoup de foyers métis. Avant l’arrivée des Européens, les autochtones se servaient de cornes ou du bois comme cuillères et récipients. Des os étaient utilisés comme aiguilles, grattoirs et alènes. Les européens avaient aussi introduit l’alcool au autochtones -- pas donné comme boisson de vin raffinée à être savourée avec un bon repas -- mais donné comme une prime au travail ou donné dans le commerce. En particulier, le whisky et le rhum étaient servis comme des attraits. Quelques Forts, tels que le Fort d’Edmonton, avaient des chambres froides où la viande fraîche pouvait être mise en réserve.

Avec le déclin du commerce de la fourrure et la disparition proche du bison, l’exploitation agricole était devenue un métier stressant. Jusqu’à l’introduction européenne des animaux domestiques tels que le bovin, la volaille, les porcs, les moutons et de la chèvre; la nourriture autochtone était prise de la nature. Les nourritures mises en réserve n’étaient pas typiques des Métis. Les Métis partageaient presque toujours leurs viandes supplémentaires et les nourritures principales, comme la farine, avec leurs parents et les membres de leur communauté.

Les fermes produisaient le blé pour faire de la farine qui était ensuite était convertie en pâte et du pain. Les produits venant des animaux domestiques étaient convertis en beurre, du lait, et le fromage. Les produits des potagers pouvaient être ajoutés à un pot de soupe frémissant. Une grosse théière, un grand bol de soupe de tout coeur, et du pain frais cuit au four étaient toujours prêts dans les maisons traditionnelles des Métis. Des grandes familles et une porte ouverte aux visiteurs rendaient un pot de soupe très populaire pour partager. Si un invité inattendu arrivait, un supplément était simplement ajouté à la marmite. Une marmite de soupe, surtout pendant les heures libres, pouvait être élargit en ajoutant du poisson, de l’orge, des racines végétales, des pois, et des os de soupes. En plus de fournir du confort, une simple marmite de soupe, débordant d’une variété de nourritures saines, comportait de propriétés nutritives et guérissantes. Pendant l’été, des fraises, des framboises, des baies de saskatoon et des canneberges étaient cueillies Des baies pouvaient être mangées fraîches, asséchées et gardées dans un sac ou ajoutées au pemmican. Si des pots en verres étaient disponibles, une confiture était préparée avec des canneberges entières (avec des baies épépinées pulvériser inclus) et soit le peuplier ou le bouleau de sève étaient ajoutés pour l’arôme sucré.

A ce jour, la soupe Métisse a continué à être populaire, avec des générations qui transmettaient les recettes familiales, pas nécessairement en quantité mesurée en suggérant des combinaisons. Quelques exemples des nourritures contemporaines des Métis se comportent de pouding de crèmes, du pain cuit et frit, la soupe des Métis, les boulettes de viandes, les tartes de viandes, la soupe aux pois, et la soupe aux haricots.

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