Les Métis et la compétition
Les conditions du commerce du début ont laissé une place pour le
commerce libre. L’Ouest était grand ouvert. Les peuples des Premières
Nations échangeaient avec la personne qui offrait le meilleur prix. Ils
comprenaient que la compétition était à leur avantage. Les postes de
commerce étaient très petits en comparaison à l’étendue des plaines.
Lorsque la première génération de Métis a été à l’emploi du au commerce
des fourrures, que ce soit comme traducteurs, guides ou commis
apprentis, les Métis étaient très familiers avec le territoire et les
Premières Nations étaient très familières avec eux. En 1804, les enfants
de l’Ouest trouvaient de l’emploi dans le commerce de leur père ou, dans
certains cas, ils choisissaient de vivre avec le peuple de leur mère.
Cuthbert Grant, Jr et Pierre Falcon Jr
étaient sur la liste des employés de la NWC de cette année là. D’autre
part, Peter Pangman Jr (Bostonais) semble avoir choisi d’éviter l’emploi
formel dans le commerce des fourrures. Ces fils du commerce des
fourrures, de même que William Shaw et Robert Bonhomme Montour, tous
d’une première génération de Métis avec des liens paternels à la NWC,
étaient des joueurs de centre durant la guerre « Pemmican War », qui
concernait en premier lieu, le droit d’échanger.
Grant, Pangman, Shaw et Montour étaient les signataires d’un ordre pour
les pionniers Selkirk de quitter « Red River ». La demande principale de
l’ordre était que personne ne reste dans la région de la colonie de « Red
River », et que tous aient le droit de passer dans cette région en paix.
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