<
 
 
 
 
×
>
hide You are viewing an archived web page collected at the request of University of Alberta using Archive-It. This page was captured on 17:20:06 Dec 08, 2010, and is part of the HCF Alberta Online Encyclopedia collection. The information on this web page may be out of date. See All versions of this archived page. Loading media information
Heritage Community Foundation Presents
Alberta Online Encyclopedia
spacer spacer spacer spacer spacer
spacer

Accueil  |  Info  |  Nous Rejoindre  |  Partenaires  |  Plan du Site  |  Archives  

spacer
Alberta's Francophone Heritage
les débuts, peuples et leurs communautés, Culture et mode de Vie, Heritage Community Foundation, Albertasource et Alberta Lottery Fund

 

Francophone Edukit

Angel Spacer
La Nouvelle-France, le commerce de la fourrure et l'exploration
Quicklinks
La Nouvelle-France,
le commerce de la fourrure et
l'exploration

Les Français et la
traite de la fourrure

La Compagnie de la
Baie d'Hudson

Les Voyageurs

La Vérendrye et l'exploration de
l'Ouest

Les Métis

Evénements à
l'étranger

Quicklinks

Un trappeurEn Nouvelle-France, plusieurs expéditions officielles d’exploration de l’intérieur du continent sont, en commençant avec les voyages de Samuel de Champlain, suivi par Étienne Brûlé, Jean Nicollet, Jean de Brébeuf, Pierre Chaumonot, Isaac Jogues, Jean de Quen, Claude Allouez, Louis Jolliet et Jacques Marquette, entre autres. En lisant les relations de ces voyages, on remarque de temps à autre la mention de l’abandon d’un membre de l’équipage, qui quitte pour allez vivre avec les autochtones. Le commerce des fourrures, hautement profitable, est toujours en arrière-pensée.

Ce qui comptait pour les administrateurs au début de l’établissement de colonie de la Nouvelle France, était qu’elle soit solidement mise sur pied, ce qui exigeait que les hommes soient disponibles pour fournir la main d’oeuvre pour l’exploitation des ressources naturelles. Il fallait surtout qu’ils restent sur leurs terres pour promouvoir l’état de l’agriculture. Le commerce des fourrures était contrôlé strictement par une sanction royale et des représailles très sévères attendaient les "coureurs de bois" qui se faisaient prendre à faire du troc illicite dans l’arrière pays. Le problème était multiple: le troc des fourrures était fort profitable, et à cause de la pénurie de femmes dans la colonie, beaucoup des jeunes colons, en s’établissant en Nouvelle-France aux frais de la couronne, se lançaient dans le commerce de fourrures avec les autochtones dans l’arrière pays. De plus, ils trouvaient facilement une femme chez les autochtones et souvent ne revenaient pas à la colonie. En 1681, les sanctions sont finalement levées par Jean-Baptiste Colbert, le ministre de finance de Louis XIV, qui cède un nombre limité de congés ou permissions, vingt-cinq par année, pour le commerce de fourrures, ce qui est peu. Quelques années auparavant, il était estimé qu’environ 300 hommes résidaient déjà chez les autochtones.

Bottom


Albertasource.ca | Contact Us | Partnerships
            For more on Francophone Alberta, visit Peel’s Prairie Provinces.
Copyright © Heritage Community Foundation All Rights Reserved