L'ère de la traite de la fourrure
Le commerce entre les Aborigènes et les Européens a pratiquement
commencé lors de leur première rencontre. Ayant peu de soutien de
l’Europe, depuis le début, la Nouvelle-France se fiait sur sa relation
avec les alliés aborigènes.
Comme un écrivain disait, « Jusqu’au milieu du dix-septième siècle, les
Européens étaient une petite minorité sur le continent, et devaient
s’ajuster aux façons indigènes de mener le combat des échanges. » Les gens
étaient dépendants des échanges avec la Première Nation qui les entourait.
Au début, le gouvernement de la France cherchait à contrôler le commerce
en donnant des monopoles temporaires avec de grosses concessions de
terrain pour la colonisation à des membres de la noblesse. Ceci s’avéra
une stratégie inefficace et fut remplacé par une politique plus ouverte
pour concéder des privilèges ou des droits de commerce aux compagnies et
aux marchands commerçants.
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