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Les Métis dans l'Ouest du Canada: O-Tee-Paym-Soo-Wuk

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Les débutsLe peuple et leurs communautésCulture et mode de vie
Mariages à la façon du pays

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Une photo de la pierre commémorative à David Thompson.L’histoire du peuple métis serait incomplète sans considérer la participation des femmes dans le développement de leur peuple. Les Métis tiennent compte de leur début à partir du mariage des commerçants de fourrures de la Nouvelle-France aux filles des Premières Nations, avec qui ils faisaient des échanges. Certains fils et filles de la prochaine génération de ces premières familles se sont mariés dans la communauté, mariant d’autres enfants du commerce des fourrures. Alors, certains de ces fils ont suivi le commerce des fourrures plus à l’Ouest et marièrent une autre fille des Premières Nations et recommencèrent le cycle une fois de plus.

Toutes ces filles, qu’elles soient des Premières Nations ou d’antécédents mixtes, étaient absolument inestimables pour les hommes du commerce de fourrures. Qu’elles cimentent une alliance de commerce ou qu’elles enseignent à leur homme comment survivre, qu’elles fassent un trou dans la glace pour pêcher du poisson comme nourriture pour sauver les gens des postes ou qu’elles produisent des conserves de viande pour nourrir toute l’industrie, elles ont joué un rôle essentiel au commerce.

Il y a tellement d’éléments inconnus à l’égard de la façon dont les femmes étaient intégrées au commerce des fourrures. Au début, la HBC défendait aux hommes d’amener leurs femmes avec eux à la Baie. Tout autant, les relations avec les Premières Nations étaient défendues. Par contre, cent ans après leur arrivée, certains de ces hommes employés par la HBC étaient désignés comme « Créoles » ou « de ce pays. »

Les premiers mariages au pays qui ont laissé des traces dans les documents de la HBC étaient de grands facteurs et des commerçants à des femmes des Premières Nations qui demeuraient aux environs du poste. Un des premiers à paraître dans les documents était le Gouverneur Joseph Adams qui a envoyé sa fille à la maison, en Angleterre en 1737. Le Gouverneur Richard Norton a reçu du Comité de Londres, une lettre d’amertume au sujet de la « femme indienne et la famille » en 1739. Humphrey Martin a enregistré la mort de sa femme Cri en 1771.

Vers la fin du 18e siècle, les enregistrements principaux de ces familles étaient des legs dans le testament des hommes. Matthew Cocking a laissé des legs à deux de ses trois femmes qui lui ont survécu. John Favell, qui est décédé en 1784, a laissé des legs à une veuve et trois enfants à la Baie. Vers le 19e siècle, il semble que la HBC ait abandonné l’idée de contrôler et stipulait seulement que la compagnie ne devait pas en subir les frais.

Le commerce français, et par la suite, la NWC, encourageaient de prendre une » femme du pays », car les partenaires comprenaient que ce serait bénéfique pour le commerce. Un modèle qui a été décrit par les Métis des Grands Lacs, était le mariage du chef de la brigade à la fille du chef du groupe des Premières Nations où ils commerçaient. Les hommes se trouvaient des compagnes dans le groupe. Leur chef prenait plus tard, une deuxième femme parmi leurs enfants. Un moment de considération mène à la réalisation du fait que le chef était lié à sa communauté de plusieurs façons. Des obligations étaient rattachées aux mariages.

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