Le guidage
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Il y avait une autre occasion d’affaires dans laquelle le peuple
métis a fait de grandes contributions. Le travail de guide a commencé à
se développer dans le milieu du dix-neuvième siècle. Les expéditions «
Franklin » et « Rae » à l’Arctique étaient accompagnée et accrue par les
brigades de commerce des fourrures. Les expéditions « Peter Warren Dease
» et « Thomas Simpson » en 1837-1839 afin de terminer le mappage d’une
importante section des côtes de l’Arctique étaient la suite de cette
exploration. Le grand nombre de voyages vers le Nord dans le but de
rechercher Franklin1, maintint la perception du public et l’intérêt
populaire pour le Nord Canadien.
Les journaux publiés suite à certaines de ces expéditions ont été
microfilmés et sont disponibles en ligne.
Là, aux observations publiées par Franklin2, il est possible de le suivre
alors qu’il se préparait pour sa première expédition désastreuse vers
l’Arctique.
Il commença par embaucher des hommes de bateaux « Orkney », mais arrivé
au Fort Providence en août 1820, il enregistra qu’ils avaient embauché un
autre voyageur et que leur expédition comprenait trois femmes et trois
enfants. Une liste des membres de l’expédition en bas de page, révèle
qu’ils avaient dix-sept voyageurs et deux interprètes, parmi lesquels,
Pierre St-Germain, qui était un « Chipewyan Bois Brûlé » ou Métis3. Bien
qu’il ait avec lui un autre Métis du Nord, l’homme tenait le poste
d’interprète. Franklin menait l’expédition sous stricte, réglementation
hiérarchique. Avant la fin de cette première expédition, neuf de ses
hommes étaient morts et un avait été exécuté. Franklin a été accueilli
comme un héros à son retour en Angleterre. Pour plus d’information si ce
qui s’est réellement passé durant cette expédition, le journal de George
Back contient plus de détails sur la vie de l’équipage4.
La seconde expédition de Franklin, en 1825 – 1827 avec Richardson, a
été mieux réussie. Il avait appris de sa première expédition. Il s’assura
qu’il avait suffisamment de nourriture et de solides petits bateaux faits
pour voyager dans les conditions extrêmes de l’Arctique. De plus, il avait
évidemment décidé de se fier davantage sur les marins anglais que sur des
voyageurs. Alors qu’ils hivernaient au Fort Franklin sur le lac « Great
Bear », il enregistra ceci :
Le nombre de personnes faisant partie du projet se chiffrait à cinquante :
ils consistaient en cinq officiers, dont M. Dease, dix-neuf matelots,
marins et voyageurs, neuf Canadiens, deux Esquimaux, Beaulieu et quatre
chasseurs Chipewyen, trois femmes, six enfants et un garçon indien, en
plus de quelques Indiens infirmes qui exigeaient un soutien temporaire5.
L’interprète Beaulieu, aidait à diriger les chasseurs, s’assurant que
l’expédition ne dépendait pas du commerce des fourrures mais plutôt d’une
provision de viande et de gras de chevreuil, et prêt à vivre de la pêche
comme le faisait les gens des forts du commerce des fourrures du Nord. Le
groupe se sépara au printemps, à l’embouchure du McKenzie. Franklin et son
groupe explorèrent la côte ouest de l’Arctique, alors que l’autre groupe,
sous la charge du Dr John Richardson, explorèrent l’est jusqu’à la rivière
« Coppermine ». Les deux groupes sont revenus au lac « Great Bear » sans
malchance.[Haut] [Retour] |
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