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Les femmes albertaines ont également participé à la vie d'église à plus petite échelle que l'adhésion aux organisations provinciales et nationales. Les femmes sont entrées dans la hiérarchie religieuse en tant que religieuses et certaines églises protestantes permet aux femme de devenir pasteur. Même si elles ne font pas partie de la hiérarchie, les femmes accomplissent souvent des tâches administratives et de maintenance dans les communautés chrétiennes. Le clergé se fie à elles pour organiser les écoles du dimanche, les activités paroissiales, et lever des fonds pour l'église, toutes ces activités étant nécessaires pour la survie de l'église. La majorité de ce travail est
volontaire.
Le chemin de l'espoir:
La Vonin Ladies Aid Society (en anglais seulement)
Dans les religions chrétiennes, les femmes, pense-t-on, ont souvent une relation plus intime avec Dieu que les hommes, relation souvent renforcée par leur dévotion à la prière. À la fin du 19e siècle et début 20e siècle spécialement, une heure de prière fixe est devenue populaire au près des femmes au Canada; une autre pratique adoptée de l'Angleterre victorienne. L'heure de prière pouvait être réalisée soit individuellement soit en groupe de femmes, dans ce dernier cas elles pouvaient discuter de questions religieuses. La relation plus intime des femmes avec Dieu développée par la prière établissait leur rôle de gardiennes morales de la société.
Sources:
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Owen, Michael. "Lighting the Pathways for New Canadians": Méthodiste and United Church WMS Missions in Eastern Alberta, 1904-1940."
Standing on New Ground: Women in Alberta. Eds. Catherine Cavanaugh and Randi Warne. Edmonton: University de l'Alberta Press, 1993.
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Thrift, Gayle. "'Women of Prayer are Women of Power': Women's Missionary Societies in Alberta, 1918-1939." Alberta History 1999 47(2): 10-17.
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