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Le mouvement pour le droit aux biens

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Au début du vingtième siècle, les lois sur les biens discriminaient les femmes. Les femmes mariées avaient peu de droits à l'argent et aux biens qu'elles partageaient avec leur maris. Cela voulait dire que si un mari décédait ou abandonnait sa femme, elle pouvait facilement perdre tous ses biens financiers. De même, dans les cas de divorce, la femme n'avait pas droit au partage des biens ou à un soutien financier, ce qui, par conséquent, n'était pas une option attirante pour les femmes, et beaucoup ont dû subir des mariages malheureux et abusifs.

Un grand nombre de femmes qui se battaient pour le droit de vote des femmes avaient l'intention d'améliorer les droits aux biens pour les femmes.. Irene Parlby (lien en anglais seulement), par exemple, dans son rôle de présidente du UFWA a créé, en 1915, des résolutions en faveur d'une loi de Irene Parlby douaire qui accorderait à la femme le droit de partage des biens de son mari, à son décès, et qui interdirait un mari de déposséder son épouse de ses biens sans son consentement. En 1917, le gouvernement fédéral répondait à ces attentes en passant la Loi sur le douaire qui garantissait aux femmes le domaine viager sur le homestead. Bien que cette loi était un grand pas en avant, beaucoup de femmes l'ont critiquée parce qu'elle n'autorisait pas la femme mariée à posséder la propriété en son nom et qu'elle ne lui garantissait qu'une seule part de la terre après le décès de son mari, et aucun des biens meubles.

Des changements majeurs pour la loi des droits aux biens sont intervenus sous le pouvoir du nouveau gouvernement UFA. En 1925, Parlby introduisait la Loi 54, un acte établissant le partage des biens entre un mari et son épouse, à l'assemblée législative. Celle loi proposait que tous les biens et propriétés qu'une femme apportait en se mariant ou avait reçus en cadeau ou héritage durant le mariage soient en son nom. Tous les autres biens acquis par le couple durant le mariage deviendraient des biens communs. Ces biens communs devaient être gérer par le mari, mais en cas de décès de celui-ci, les biens devaient être divisés également entre l'épouse en vie et sa succession. Cette loi était extrêmement révolutionnaire pour son temps et même beaucoup de femmes ne la supportaient pas. Finalement, la loi n'a pas passé. À la place, le UFA a passé une autre loi en 1926 qui ne faisait qu'élargir la notion de succession aux biens des femmes. Par contre, la loi Parbly a signifié le montant d'intérêt à augmenter les droits des biens pour les femmes et a montré la voie à de futures lois.

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Maintenant que nous sommes des personnes - Partie II © 1989 Canadian Filmmakers Distribution

Cet extrait discute les raisons et les événements menant à la réunion des Fameuses Cinq pour porter un appel à la Cour suprême pour clarifier la section 24 de l'Acte de l'Amérique du Nord britannique

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Sources:

  • McManus, Sheila.  "Gender(ed) Tensions in the Work and Politics of Alberta Farm Women, 1905-29."  Telling Tales.  Eds. Catherine Cavanaugh and Randi Warne.  Vancouver: University of British Columbia Press.


 

  
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