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Glossaire

Acte de réimplantation indienne: Passé en 1830, cet acte encourageait les tribus de l'Ouest d'échanger leurs terres avec le gouvernement pour de nouvelles terres dans les plaines.

Acte des Sauvages, 1876: Acte controversé passé par le gouvernement en 1876 ayant pour but d'assimiler les populations autochtones. Ces derniers n'avaient pas été consultés dans le développement de cet acte qui permettait au gouvernement d'assumer une responsabilité fiduciaire (droit légal d'agir dans le meilleur intérêt d'une autre personne) sur les peuples autochtones. L'acte changeait plusieurs choses: il imposait des changements signifiants sur la manière dont les chefs autochtones et les conseils pouvaient opérer, définissait qui était un «indien», «protégeait» les territoires autochtones et introduisait des agents des sauvages (fonctionnaires du gouvernement qui n'étaient pas autochtones et qui étaient responsables de réaliser les termes de l'acte). L'acte donnait aussi au gouvernement l'autorité sur les peuples autochtones du Canada, introduisait des lois en regard de l'exemption de taxes pour les autochtones vivant sur les réserves, interdisait aux autochtones de vendre, manufacturer ou posséder de l'alcool et les réintroduisait les lois d'affranchissement.

Anneau de tipi: La base de la plupart des tipis est ancrée au sol par de grosses pierres afin de rendre la structure stable durant le mauvais temps. Les pierres étaient placées sur l'extérieur de la couverture de peaux à sa base. Souvent, quand une tribu quittait leur habitat saisonnier, ils emmenaient leur tipi, laissant derrière les pierres lui servant d'encrage. Les pierres étaient facilement disponible et étaient généralement trop encombrantes pour les transporter de place en place. Résultat de cette pratique, les prairies sont parsemées de ces cercles de pierres que les archéologues appellent «anneau de tipi».

Bande: Un groupe d'indiens qui partage un territoire, une devise d'échange, une tradition culturelle et une direction communs et spécifiques.

Famille Blood Blood Nation: Tribu nomade connu dans leur langue autocthone sous le nom de Kai-nau ou "Beaucoup de chefs", elle suivait les bisons, les chassant à pied et, après 1700, à cheval. Les chevaux sont devenus une composante intégrale de leur mode de vie, élargissant leur territoire, augmentant leur fortune et inspirant l'agressivité. Avant 1860 et l'infiltration des trafiquants de whisky et l'arrivée des hommes blancs, la tribu a commencé à perdre sa cohésion. L'alcool a dégénéré la tribu au niveau de la pauvreté. Le déclin du bison combiné à l'alcoolisme, la maladie et les guerres persistantes les ont menés aux discussions du traité de 1877 avec le gouvernement fédéral à la Traverse des Pieds-Noirs sur la rivière Bow.

Sundial Hill Cercle d'influencesCercle d'influences: Les cercles d'influences sont un fait culturel mystérieux et rare trouvé dans les plaines de l'Alberta, Saskatchewan et dans le nord du Wyoming. Imposants et visuellement impressionnants, il y a une indication suggérant que le cercle d'influences servait une variété de fonctions religieuses et cérémoniales. Quelques uns de ces cercles datent environ de près de 5 500 ans. Structurellement, ils reflètent une diversité de forme et de taille. Le terme «cercle d'influences» est utilisé depuis la fin du 19ème siècle pour décrire une grande variété de structures de surface en pierres situées dans les plaines du nord. Ils ont généralement faits d'un cairn central ou cercle de pierres dont à partir du centre une série de rangées d'autres pierres radie. Bien que la fonction réelle de ces constructions de pierres demeure encore inconnue. Certains groupes autochtones croient qu'elles symbolisent et reflètent les dynamiques et le sens de l'univers.

CertificatsCertificats: Certificats fournis par le gouvernement aux indiens des traités durant les négociations des traités numérotés. Le certificat leur donnait le droit de recevoir 240 acres de terres ou de toucher 240 $, somme qui pouvait être destinée à l'éventuel achat de terres de la couronne n'importe où.

Chariot de la rivière RougeChariot de la rivière Rouge: Système de transport et livraison inventé par les Métis. Similaire au travois, mais mieux dessiné pour s'adapter aux conditions de voyages dans les plaines. Chariot rudimentaire à deux roues désigné à être attaché à un cheval. Les roues avaient des rayons en arc et étaient «désaxées» pour donner à l'axe du chariot une piste plus large et pour absorber les chocs reçus par le chariot lors des lourdes charges. Le chariot de la rivière Rouge permettait aux Métis de transporter de grandes quantités de marchandises sans avoir à entretenir de grands troupeaux de chevaux.

Chasse "industrielle": L'abattage (et traitement) d'un vaste nombre de bisons. Les méthodes de chasse industrielle les plus communes étaient le saut de bisons et les fourrières à bisons.

Chefs Blackfoot de Confederacy au fort Macleod, Alberta, 1875.Confédération des Pieds-Noirs: Communauté d'indiens des plaines composée de cinq nations cinq nations distinctes. Trois nations au sein de la confédération partagent une langue et culture communes et sont connus comme étant les "Propres Pieds-Noirs" ou "Siksikas" - les Pieds-Noirs, les Bloods, et les Piégans. Les deux autres nations da la confédération sont les Sarcis et les Gros Ventres. À l'apogée de leur pouvoir la Confédération des Pieds-Noirs commandait les territoires allant de la rivière Saskatchewan nord, le sud du Missouri, et de la frontière Alberta - Saskatchewan actuelle aux montagnes Rocheuses.

Égalitarisme: Système de vie ou structure de classes qui ne comprend pas de statuts importants tels que «esclaves» ou «nobles» qui étaient hérités. Les tribus des plaines canadiennes étaient considérées égalitaires. Elles n'avaient pas de grandes richesses, telles que habitations, poulaillers et bétails permanents qui pouvaient être légués par héritage.

Painting of a buffalo poundFourrière à bisons: Un parc habituellement fait de peaux et de broussailles, muni d'une clôture en forme d'entonnoir menant à l'entrée. Des petits troupeaux de bisons pouvaient y être conduits pour y être tués.

Assiniboins, ca. 1880sIndiens assiniboins (Stoney ou Nakoda): Le peuple assiniboin s'est fracturé des Sioux Yankton pour s'associé largement ensuite avec les Cris. Il y a trois cent ans, ils vivaient dans le Minnesota au bord des terres à parc et des plaines, ils étaient chasseur de chevreuils et de bisons et s'adonnaient un peu à l'horticulture.

Beaver le chef et la famille, région de fleuve de paix, ca. 1911.Indiens castors: Aussi connus comme les Tsattine, les «habitants parmi les castors». Cousins des Slavey, des Chipewyans et des Sarcis, qui parlent tous des langues d'origine athapaskane, les Castors vivaient originalement dans un vaste territoire entre la frontière de l'Alberta de nos jours - Saskatchewan et la rivière La Paix. Par contre, Les Cris les ont poussé à l'ouest, grâce aux armes à feu que les Européens ont amenées dans le nouveau monde. Subséquemment, le terrain de chasse des Castors (l'élan étant un exemple alimentaire) s'est étendu aussi loin que les montagnes Rocheuses. Ils étaient reconnus comme étant des chasseurs exceptionnels, et bien qu'ayant la réputation d'être un peuple pacifique, ils ne manquaient pas de qualités quand la guerre était nécessaire. Les castors, leur nombre secoué par la maladie et la famine, ont été la dernière bande à signer le traité no. 8 en mai 1900.

Indiens Slavey (Déné Tha): Aussi connus comme les Acha'otinne, ou "peuples des régions boisées", les Slavey vivaient dans le lointain nord de l'Alberta, leur territoire de chasse comprenait une partie du Nunavut (TNO). Ils étaient organisés en six bandes et, comme les autres peuples des régions boisées, maintenaient des petits regroupements familiaux dénués de direction, élisant seulement des chefs en temps de conflits. Les Slavey ont développé la réputation d'être un peuple pacifique ayant une riche tradition de contes. Ils se respectaient entre eux de même qu'ils respectaient les étrangers. C'étaient des habitants des forêts et ils avaient peu d'ennemis, cela du à leur réputations d'êtres des sorciers puissants. Le régime alimentaire des Slavey comprenait le poisson, l'élan et le caribou, bien que le fait d'obtenir assez de nourriture était souvent problématique. Les Slavey de l'extrême sud ont signé le traité 8 en 1900, tandis que ceux, plus au nord, ont été délaissés jusqu'en 1921 quand ils ont signé le traité 11.

Nation Atsina (Gros Ventre): Communauté de la race algonquienne et une branche des Arapahos. Ils se nomment eux même les «Aaninem», Atsina étant leur nom pied-noir. La tribu était composée de dix bandes, toutes commandées par un seul chef qui, avec les chefs des bandes, formai le conseil. Faisant partie, il y a un temps, de la tribu Arapaho, ils se sont fracturés de ces derniers et se sont déplacés au nord dans les prairies canadiennes où ils chassaient et étaient rattachés à la Confédération des Pieds-Noirs. À la fin du 18ème siècle, ils ont déplacé leur campement à Edmonton et ont établi des relations avec les traiteurs. Des guerres continuelles entre les Cris et les indiens Stoney les ont repoussés de retour dans le sud, où ils ont formé une alliance avec les indiens Crow et Arapahos. La tribu vit de nos jours sur la réserve de Fort Belknap dans l'est du Montana.

Nation Chipewyan (Déné): Tribu nordique nomade dont le territoire s'étendait de la rivière Churchill au nord de la toundra et de la Baie d'Hudson à l'est, jusqu'au Grand lac des Esclaves et une partie de l'Alberta à l'ouest. Bien qu'étant un peuple très nombreux, les Dénés avaient très peu de structure sociale et gouvernementale. Leur langue les définissait en tant que communauté, et leur commandement était rarement défini et assez flexible. Le nom Chipewyan est dérivé d'un terme cri signifiant «peaux pointées» dont certaines personnes pensent qu'il réfère à la manière dont ces gens particuliers faisaient et portaient leurs vêtements, tandis que d'autres l'interprètent comme étant la manière comment les Cipewyans préparaient leurs fourrures pour la traite. La culture chypewyane valorisait la flexibilité et la liberté personnelle et, à la différence de la plupart des peuples des plaines, ils n'avaient pas de système de guerre organisé, bien qu'ils considéraient les Cris et les Inuits comme des ennemis. Après l'arrivée des hommes blancs dans leur région, la population chipewyane à été décimée par la variole qui a anéanti 90% de ses membres. En 1898, les Chipewyans ont signé le traité no. 8 avec les Cris et les Castors. Sous les termes du traité, les Chipewyans étaient autorisés à obtenir des terres dans lots individuels parce qu'il n'avaient pas de communauté officielle et ne voulaient pas se confiner dans les réserves.

Nalleka, Cree woman, Calgary, AB. June 1885.Nation Crie: Bien qu'il existe des preuves que les Cris ont vécu dans les régions de terres à parc depuis longtemps, les Cris des plaines venaient de l'est et se sont déplacés dans les plaines via leur participation à la traite des fourrures. Bien que le terme «Cri » provenait sans doute d'un nom français Kristineaux d'origine inconnue, leur propre terme est Nehiyawak ou «Peuple exact». L'on trouve de nombreuses branches de la nation crie, éparpillées à travers le pays et divisées entre les Cris des plaines, les Cris des bois, les Cris des marais, et les Cris élans. À l'origine, ils étaient tous des peuples des terrains boisés et parlaient la langue algonquienne de l'Est canadien.

Lucy Landon, Fille kootenai, ca. 1906.Nation kutenai (Kootenay): Les branches supérieures et inférieures des Kutenais (Kootenay) sont divisées plus ou moins entre le Canada et les États-Unis. Les Kootenays de la branche supérieures sont un peuple à proprement parler de la Colombie-Britannique, mais durant le 18ème siècle, au moins une bande kutenai occupait le Sud-Ouest albertain, chassant le bison. Des preuves archéologiques suggèrent que les Kootenays vivaient dans le Sud-Ouest albertain depuis plus de 2000 ans.

Famille métisseNation Métisse: Également nomades égalitaires, les Métis n'avaient pas de propriétés réelles et prenaient part à la chasse des bisons comme la plupart des nations indiennes des plaines. Comme les Cris des plaines, ils maintenaient un «point de base» à partir duquel ils migraient pour participer à la chasse des bisons. La nation métisse est unique sur la carte culturelle du Canada en ce sens qu'ils n'ont émergé que seulement après l'arrivée des blancs et le mariage de Canadiens français ou anglais avec des femmes autochtones de prédominance crie. Les enfants nés de ces mariages étaient appelés «Métis » ce qui est le terme français pour «mixed blood» (Sang mêlé).

Nation Pieds-Noirs: L'une des tribus du nord les plus connues, les Pieds-Noirs ont été la première nation à rencontrer les traiteurs de fourrures. Aussi connus sous le nom de "Siksika", cette nation vit sur les plaines depuis très longtemps.

Crow Eagle, North Peigan. 1895. Also known as Maestro Petah.Nation Piégane: Nation à l'extrême sud de la Confédération des Pieds-Noirs. La tribu, au Canada, est connue comme étant les Piégans du Nord, tandis qu'au Montana ce sont les Piégans du Sud. Par eux-mêmes, les Piégans du Nord sont la plus petite tribu pied-noire à signer un traité avec le gouvernement canadien, mais ensemble avec leurs compatriotes piégans du Montana, ils forment la plus grande tribu de la confédération.

Nation Sarcie: Aussi connus comme les 'tsotli'na" (peuple de la terre) ou tsuu t'ina (peuple nombreux), les Sarcis sont vus comme étant une tribu fragmentée de la nation des Castors. Selon une théorie, les Sarcis se sont séparés de leur nation parentale et ont été poussés au sud par les Cris durant le milieu du 18ème siècle. Ayant des coutumes et traditions similaires à celles des Pieds-Noirs, telles que la danse du soleil, les rites de mariage et de funérails, de même que leur connexion quant à la chasse aux bisons, les Sarcis parlaient la langue athapaskane. Ils ont atteint la réputation d'être un peuple brave et leur territoire s'étendait de Rivière-la-Paix, au nord, à Red Deer au sud. Après la signature du traité no.7, ils étaient sensés partager une réserve avec les Siksikas et les Bloods sur la rivière Bow, mais, à la place, ils ont repris leur mode de vie nomade. Finalement, ils se sont établis sur 2 800 hectares de terre dans la périphérie sud de Calgary.

Nomade: Mode de vie dans lequel une personne ne possède pas de résidence permanente. Les peuples nomades n'ont pas d'habitation permanente (place de résidence) et vivent généralement dans des structures portables. Les gens des plaines étaient tous nomades et survivaient en suivant les troupeaux de bisons et vivaient dans des tentes portables ou tipis.

PictogrammePictogramme: Part d'une forme d'art utilisé par les autochtones pour exprimer leurs vues sur le monde les entourant. Les pétroglyphes sont des gravures sur pierre qui communiquent des idées ou qui sont une tentative de communiquer avec le domaine du surnaturel pour recevoir des conseils ou de l'aide. Certains croient que cette forme d'art autochtone est associée avec le concept religieux de la «quête de la vision», un rite de puberté ou de cérémonie de recherche de pouvoir. Ces gravures sont sensées être une forme d'art «biographique», par laquelle le graveur relate un événement qui peut inclure des figures humaines, des armes, animaux, tipis, pistes de chevaux et autres symboles. L'on peut voir de très bons exemples de ces gravures dans des sites tels que le Parc national Writing-On-Stone dans le sud de l'Alberta.

PétroglyphePétroglyphe: Part d'une forme d'art utilisé par les autochtones pour exprimer leurs vues sur le monde les entourant. Les pétroglyphes sont des gravures sur pierre qui communiquent des idées ou qui sont une tentative de communiquer avec le domaine du surnaturel pour recevoir des conseils ou de l'aide. Certains croient que cette forme d'art autochtone est associée avec le concept religieux de la «quête de la vision», un rite de puberté ou de cérémonie de recherche de pouvoir. Ces gravures sont sensées être une forme d'art «biographique», par laquelle le graveur relate un événement qui peut inclure des figures humaines, des armes, animaux, tipis, pistes de chevaux et autres symboles. L'on peut voir de très bons exemples de ces gravures dans des sites tels que le Parc national Writing-On-Stone dans le sud de l'Alberta, qui doit dater environ de 1000 ans avant J.-C.

Premiers danseurs de nations à un pow-wowPow-wow: Phénomène moderne, rencontre sociale qui permet aux participants d'avoir l'opportunité de socialiser, de danser, de jouer et de réaffirmer leur identité indienne dans un context moderne. Les pow-wow tendent à générer la fierté d'être autochtone, tout en rendant flou les différences culturelles spécifiques des différents groupes culturels des Premières nations.

Pemmican: Un mélange de viande séchée (pilonnée en poudre fine) et de gras fondu, avec l'ajout de baies pour la saveur. Le pemmican était la base du régime alimentaire de beaucoup d'autochtones et de traiteurs de fourrures car il pouvait être entreposé pour de longues périodes de temps.

Polygamie: Coutume de mariage par laquelle un mari peu prendre ou avoir plus d'une épouse. Toutes les tribus des plaines de l'Ouest canadien pratiquaient cette forme de mariage.

Prix de la mariée: Somme négociable que les Pieds-Noirs, les Cris des plaines et les Sarcis payaient aux parents de la femme à marier avant le mariage. Les Bloods et les Piégans pratiquaient l'échange de cadeaux entre les familles des époux prospectifs. Les Assiniboins, d'un autre côté, pratiquaient le "service à la mariée" par lequel le mari s'engageait à venir en aide à ses beaux-parents pendant une période de temps coutumière après le mariage.

Réserve: Parcelles de terres à travers le Canada qui ont été mises de côté et réservées pour les autochtones du Canada après la confédération. Établies dans une série de traités numérotés et détenues en fiducie pour les populations autochtones par le gouvernement par le biais du ministère des Affaires indiennes, ces parcelles de terres étaient intégralement reliées aux statuts et droits officiels des indiens.

La peinture de Saut de bisonSaut de bison: Un talus escarpé au-dessus duquel les chasseurs conduisaient les bisons. Cette technique, avec celle des fourrières à bisons, étaient des méthodes employées dans l'approche "industrielle" de la chasse.

Tipi (teepee): Le tipi de peaux utilisé par les indiens des plaines est sensé dater de la période Oxbow, et était une forme d'architecture idéalement adapté à l'environnement venteux des plaines et au peuples nomades. De forme conique et facile à monter et démonter, ces pieux de bois et recouverts de peau de bisons le rendait facilement accessible et aisé à transporter. Il pouvait être chauffé en hiver par un petit feu central. Les volets à fumée protubérants pouvaient être mus pour attraper le vent ou être fermés en cas de pluie. Ses solides murs de peaux étaient bien ancrés au sol et ainsi il restait bien au chaud et était stable mais lors des pires orages de prairies.

Treaty payment, Treaty 8. Possibly Chipewyan.Traités numérotés: Initié dans un essai de construction de nation après la confédération, le gouvernement canadien a négocié une série de traités avec les peuples autochtones à travers le Canada, qui les autoriseraient à avoir des droits sur les ressources naturelles ans les terres nécessaires pour construire un chemin de fer national qui raccorderait tout le pays. Ces traités couvraient la majorité des terres canadiennes et définissaient ceux que le gouvernement reconnaissait comme «indiens visés par un traité» ou, plus tard, «indiens de plein droit». La signature de ces traités s'est déroulée suivant une étendue de 50 années, de 1871 à 1921. Onze traités numérotés ont été signés au total par lesquels les peuples autochtones devaient accepter de s'établir sur des réserves. Ces traités incluaient aussi les terres de réserves basées sur le nombre d'autochtones dans une colonie, de même que des accords sur l'éducation, l'équipement et formation agricoles, des cadeaux et des pensions. Bien que ces traités couvraient la plus grande partie su sol canadien, ils n'incluaient pas tous les peuples autochtones. Le peuple inuit n'est jamais entré dans les discussions de traité et les peuples des Premières nations des territoires de la Baie James et de la Colombie-Britannique n'ont pas été approchés pour les négociations des traités ou l'établissement. Les Métis ont aussi été omis de ces traités, leur présence et leurs réclamations au niveau des terres largement ignorées, et cela jusqu'à plus tard.

Travois à cheval.Travois: Système de transport fait de deux, ou plus, longs pôles liés l'un à l'autre pour faire un cadrage en forme de A avec une sorte de panier de transport en son centre, similaire au traîneau. Il améliorait de manière significative la méthode de transport de tipis et d'autres objets personnels de place en place.

Trou à bouillir.Trou à bouillir: Moyen de cuisson par lequel un trou rond était creusé dans la terre dans lequel une peau d'animal était enfoncée. Le trou était ensuite rempli d'eau et la viande y était placée. Un feu était ensuite allumé à côté et un nombre de pierres étaient chauffées au rouge. Quand les pierres étaient assez chaudes, elles étaient soit jetées dans l'eau ou tenues dans l'eau qui atteignait la température d'ébullition afin de cuire la viande.

Variole: Maladie qui a éclaté dans les plaines durant l'été 1781 et qui a été suivie d'épidémies en 1801, 1816, 1836 et 1869. La première épidémie est venu des Shoshonis du sud aux Pieds-Noirs. Résultat de cette épidémie initiale, la moitié de la tribu des Pieds-Noirs a été décimée. Des épidémies subséquentes ont été emmenées dans les plaines en provenance de l'Est par le bais de la traite des fourrures. L'épidémie de 1836 a anéanti un autre deux tiers des Pieds-Noirs.

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