L’espoir d’établir des Canadiens français au travers du pays
était un rêve commun au clergé de l’Est ainsi que de l’Ouest du
pays. Il était espéré que dans l’Ouest, les Métis apprendrait
les fondements de l’agriculture de leurs congénères qui
arrivaient de l’Est pour prendre des concessions (homesteads),
et de cette façon s’assimilerait à eux.