La Compagnie du Nord-Ouest
Après la chute de Québec aux Britanniques en 1760, la proclamation de
1763 a modifié une bonne partie du territoire français du commerce de la
fourrure en territoire indien. Après la révolution américaine, cette
région devint un territoire américain désorganisé, ouvrant, une fois de
plus, la région au commerce de la fourrure. La révolution a de plus
envoyé un flot de Britanniques au Nord dans ce qui restait du territoire
Britannique.
La
Compagnie du Nord-Ouest commença à Montréal, tel un groupe de marchands
britanniques qui désirait défier le monopole de la HBC. En 1780, ce
groupe, comprenait James McGill, Simon McTavish, Isaac Todd, les frères
Frobisher et Peter Pond.
Ils se sont officiellement incorporés à la NWC en 1783. Après trois autres années, un autre groupe de
marchands se sont joints, Gregory, MacLeod et compagnie. Ceci a amené
certaines personnes telles Roderick MacKenzie et Alexander MacKenzie dans
la compagnie.
Ils dominaient économiquement le commerce, mais les employés étaient
toujours attirés par la population des canadiens français et des Métis des
Grands Lacs. La montée de la Compagnie du Nord-Ouest durant les décennies
de la fin du siècle a marqué le changement de pivot du commerce. Les
politiques de la Compagnie du Nord-Ouest exigeaient des poursuites
agressives du commerce et ils commencèrent à s’imposer de plus près aux
postes de la CBH.
Les employés français du commerce des fourrures ne tardèrent pas à
rencontrer une opposition active des commerçants londoniens de la Baie
d’Hudson, qui durant presque cent ans étaient heureux de laisser les
peuples aborigènes les rencontrer à la Baie. La compagnie de la Baie
d’Hudson mettait des postes pratiquement sur le seuil de l’opposition. Le
Fort Souris était opposé par « Brandon House », le Fort George par «
Buckingham House», « Fort Edmonton » et « Acton House ». [Haut] [Retour] |
Historique
Les commerçants de Montréal
La Compagnie du Nord-Ouest
La compagnie de la Baie d’Hudson
Géographie et écologie
La traite
L’approvision-nement
Le commerce des peaux de bison
Les compagnies et l’emploi (salaires) |