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Les Métis dans l'Ouest du Canada: O-Tee-Paym-Soo-Wuk

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Les débutsLe peuple et leurs communautésCulture et mode de vie
Logement

Le tipi était le principal logement pour les nomades autochtones. En plus de fabriquer des tipis, les femmes autochtones les érigeaient et les démolissaient. En outre, elles étaient responsables de transporter les provisions et les tipis d’un camp à l’autre. Logiquement, le refuge devait être très transportable et efficace.

Les femmes métisses agissaient souvent comme guides, interprètes, et parfois des pagaies aux commerçants de la fourrure et des explorateurs et donc elles étaient disponibles à ériger des refuges. Qu’est-ce qui se passait quand les hommes se déplaçaient et campaient sans les femmes? Ils sont nombreux les photographies de voyageurs Métis (les hommes qui ramaient des bateaux venant de York), des commerçants de la fourrure européens, et des chasseurs Métis de bisons qui s’asseyaient autour de petits terrains de camp avec une ou deux tipis en vue. Il permet à l’un de conclure que quand laisser à s’occuper de leurs propres dispositifs, les hommes savaient comment ériger des tipis et d’autres refuges de survie comme un conservatoire.

En se servant des techniques européennes de construction, des postes, des forts, des missions, des églises, et des établissements furent construits. Les femmes autochtones et métisses qui avait une union ou qui avaient épousé les commerçants de compagnie de fourrures vivaient généralement dans des forts ou dans des postes avec leurs familles et avec les employés de la compagnie et leurs familles. Souvent, pendant plusieurs mois en même temps, les postes hébergeaient aussi les malades et/ou les affamés.

De grands forts tels que le Fort Edmonton étaient comme des villages murés, avec des maisons en bois, une salle de classe, et dans le cas du chef commissionnaire Rowand, un château baronnial était construit pour indiquer son immense statut.

Pendant que les préjuges des commerçants résultaient de leur exagération de la dégradation des femmes indiennes, il n’y avait aucun doute que, sur le niveau matériel, la vie sur le poste de commerce de la fourrure offrait aux femmes Indiennes une meilleure existence.

En premier, elle avait maintenant beaucoup plus de routine sédentaire. Avec une maison fixe, les femmes indiennes n’avaient plus besoin d’agir comme une bête de fardeau, tirant ou transportant des équipements de camps d’un endroit a l’autre Dans la société du commerce de la fourrure, le rôle peu enviable de porteur était assumé par l’engagée ou le domestique. Les hommes au fort étaient responsables de fournir le bois à brûler et l’eau, même que les femmes pouvaient aider. En contraste avec la pratique indienne, les femmes au fort n’étaient pas envoyer pour ramener à la maison le produit de la chasse. La femme d’un bourgeois, bénéficiant de la stature de la personne avait le privilège d’être la première dame du pays. Elle fut transportée du canot et pouvait espérer que ses bagages seraient portés par un voyageur.

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